Well after fighting many viruses I finally came down with a healthy head cold. What is comforting is that to have a head cold you must have a head.
Now in French, a head cold is "un rhume de cerveau". To have "un rhume de cerveau" you must have a brain.
Hence I'm safe in both our official languages. Is not that nice?
mardi 30 novembre 2010
samedi 27 novembre 2010
Lunch time
mercredi 24 novembre 2010
The ennemy
mercredi 17 novembre 2010
gastronomie
Cuisine exotique
Les voyages, c’est bien connu, forment la jeunesse…et fatiguent les fesses. Au cours d’un de nos voyages à travers nos vastes espaces canadiens, nous avons dû, pour reposer nos fesses, entrer dans quelques boutiques hétéroclites où nous avons découvert un petit bijou culinaire. Nous étions probablement à Moosonee ou à Moose Factory ou en quelquepart dans l’ouest; les participants à cette publication se nomment “ Johnny Redsquirrel, Annie May Ratt, George Buffalo, Big Jim Bear, Moses K. Willowgrass, Beaver Joe Beaver, Tony Whitefish, Mary Laughingwater, Billy Joe Rain-In-The-Face, Jimmy Blizzard, Noolan Sparrow-Hawk and other unnamed Indian friends all over the North.” Le fascicule a été publié en 1972, 1976 et 1979 par Prairie Crafts à Saskatoon et s’intitule : Wilderness Kingdom New Cookbook.
Une des recettes m’a surtout frappé : la mouffette braisée. Permettez-moi de vous la traduire : « La mouffette braisée est délicieuse et ces petits animaux au dos strié servent finalement à quelque chose. Pour manger de la moufette braisée au dîner du dimanche, il faut d’abord se procurer une moufette. Pas facile. Les trappeurs du nord recommandent la bonne vieille boîte piégée. Vous pouvez confectionner une de ces trappes et l’apporter à votre maison d’été. Vous serez ainsi protégés et nourris. Une fois la mouffette capturée commence la plus délicate des opérations. Attachez une longue gaule au piège et, avec grande précaution, rendez vous au plus proche point d’eau pour y immerger la trappe et noyer la bête. Cette méthode n’est pas cruelle et permet, en même temps, de laver la moufette. Une fois l’animal mort peler la peau avec beaucoup de précautions et assurez-vous d’enlever, juste sous la queue, la vessie renfermant le liquide odorant car il pourrait affecter le goût de la viande. Une fois la moufette dépecée et coupée placée la viande dans une poêle et saupoudrez de paprika, de sauge, de sel et de poivre, ajoutez des oignons et cuisez jusqu’à ce que la viande soit tendre. Invitez votre belle-mère et vous connaissez sans doute intimement quelque politicien que vous pourriez aussi invité à dîner? BONNE CHANCE!!! » Mignon n’est-ce pas?
Les voyages, c’est bien connu, forment la jeunesse…et fatiguent les fesses. Au cours d’un de nos voyages à travers nos vastes espaces canadiens, nous avons dû, pour reposer nos fesses, entrer dans quelques boutiques hétéroclites où nous avons découvert un petit bijou culinaire. Nous étions probablement à Moosonee ou à Moose Factory ou en quelquepart dans l’ouest; les participants à cette publication se nomment “ Johnny Redsquirrel, Annie May Ratt, George Buffalo, Big Jim Bear, Moses K. Willowgrass, Beaver Joe Beaver, Tony Whitefish, Mary Laughingwater, Billy Joe Rain-In-The-Face, Jimmy Blizzard, Noolan Sparrow-Hawk and other unnamed Indian friends all over the North.” Le fascicule a été publié en 1972, 1976 et 1979 par Prairie Crafts à Saskatoon et s’intitule : Wilderness Kingdom New Cookbook.
Une des recettes m’a surtout frappé : la mouffette braisée. Permettez-moi de vous la traduire : « La mouffette braisée est délicieuse et ces petits animaux au dos strié servent finalement à quelque chose. Pour manger de la moufette braisée au dîner du dimanche, il faut d’abord se procurer une moufette. Pas facile. Les trappeurs du nord recommandent la bonne vieille boîte piégée. Vous pouvez confectionner une de ces trappes et l’apporter à votre maison d’été. Vous serez ainsi protégés et nourris. Une fois la mouffette capturée commence la plus délicate des opérations. Attachez une longue gaule au piège et, avec grande précaution, rendez vous au plus proche point d’eau pour y immerger la trappe et noyer la bête. Cette méthode n’est pas cruelle et permet, en même temps, de laver la moufette. Une fois l’animal mort peler la peau avec beaucoup de précautions et assurez-vous d’enlever, juste sous la queue, la vessie renfermant le liquide odorant car il pourrait affecter le goût de la viande. Une fois la moufette dépecée et coupée placée la viande dans une poêle et saupoudrez de paprika, de sauge, de sel et de poivre, ajoutez des oignons et cuisez jusqu’à ce que la viande soit tendre. Invitez votre belle-mère et vous connaissez sans doute intimement quelque politicien que vous pourriez aussi invité à dîner? BONNE CHANCE!!! » Mignon n’est-ce pas?
mardi 2 novembre 2010
Recyclage
Voici un photo prise aujourd'hui à la station Berri-UQAM du métro de Montréal. La station est en pleine rénovation. Comme panneau mural temporaire, le contracteur a récupéré un vieux panneau indicateur. Devons nous creuser l'escalier? Veut-il nous envoyer aux Enfers? On s'amuse comme on peut, n'est-ce pas?
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